Les pressions croissantes s’exerçant sur les mangroves à travers le monde, soulignent la nécessité d’étudier la végétation à travers des échelles spatio-temporelles.
Les mangroves subissent des pressions anthropiques dues par exemple au développement côtier mais sont également soumises à un stress environnemental « naturel » tels que les cyclones, les tsunamis, les inondations et l’élévation du niveau de la mer. Il faut compter en décennies pour que ces écosystèmes arrivent à se rétablir.
Une étude a récemment été lancée afin d’estimer les changements dans la végétation de mangrove dans l’estuaire Ariankuppam sur la côte sud-est de l’Inde péninsulaire après deux perturbations phénoménales, le tsunami de 2004 et le cyclone Thane de 2011.
Une comparaison de la couverture terrestre a été réalisée via des cartographies de 2004, 2005, 2010 et 2011 afin de détecter les changements de superficie de ces zones de mangroves.
Retrouvez l’étude et les résultats de celle-ci en cliquant et téléchargeant le document suivant : rapport mangroves de Pondichéry.